rt. Il y a 10 ans, la crise financière mondiale s’est annoncée sur le marché hypothécaire américain. Des milliers de citoyens américains ont perdu leur emploi et leur maison. C’était le début de la crise financière en 2008. Par la suite, une des plus grandes banques du monde, Lehman Brothers Bank, disparut de la circulation. Elle ne put plus assumer ses obligations. D’autres banques internationales, également en Europe, se retrouvèrent dans la faillite. Elles furent «secourues» dans le monde entier par les gouvernements concernés par des activités sans précédents, pour sauver l’économie mondiale d’une crise semblable à celle du début des années trente.
Les banques centrales telle la Federal Reserve Bank (FED) américaine ou la Banque centrale européenne (BCE) commencèrent à acheter avec de l’argent «nouvellement créé» des actions ou des emprunts d’Etat en quantités inconnues jusque-là, afin de «pomper des liquidités dans le marché» – comment cela est appelé banalement par le monde financier – pour «stimuler» l’économie. Cela mena par la suite à une fuite dans le franc suisse, parce que les citoyens des Etats de l’UE limitrophes craignaient une inflation. La Banque nationale suisse (BNS) fut alors également obligée de travailler avec de l’argent «nouvellement créé», afin d’acheter des monnaies étrangères (surtout des euros), pour stabiliser les cours de change et pour maintenir une industrie d’exportation compétitive sur le marché international.
Le volume gigantesque de cet argent fictif inflationniste, créé et continuant à l’être, s’agrandit toujours et représente pour nous une épée de Damoclès. «Plus tard» quand l’économie se sera à nouveau affermie, la masse monétaire sera «retirée» du marché. Comment et quand cela va-t-il se passer reste un secret même pour les spécialistes.
Entre temps, on a élaboré des propositions raisonnables dont la mise en pratique pour empêcher des crises financières futures est prise en compte:
Ce court aperçu du monde actuel de la finance, nous révèle le peu d’exigences réalisées en faveur d’une politique responsable et la persistance des banques centrales à créer de la Fiat money. Les réflexions approfondies sur les fondements éthiques dans ce domaine n’ont trouvé que partiellement leur chemin vers la pratique.
A court et à long terme nous devons inclure dans nos propres réflexions la prévoyance d’une crise économique «inattendue». •
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