«La neutralité? Je l’approuve sans réserve. Et je crois qu’avant que les menaces d’une extension du conflit à l’OTAN ne soient mises en pratique par l’une ou l’autre des parties, nous devons faire en sorte que ce conflit prenne fin. Et de ce point de vue, je ne vois aucun engagement de la part de qui que ce soit, au contraire, je vois toute une série d’incendiaires
«Tout d’abord, notre pays devra tout faire pour mettre fin au conflit, à ma connaissance rien n’est fait dans ce sens. Quand je dis tout faire, je sous-entends que nous nous mettions d’accord avec d’autres pays européens, notamment avec la France et l’Allemagne, sur une position commune à l’égard des pays bellicistes, les Etats-Unis par exemple, pour qu’ils cessent et pour qu’ils favorisent une trêve et des négociations, sous peine d’une rupture des relations.»
Général Leonardo Tricarico,
ancien chef d’état-major de l’armée de l’air italienne
et actuel président de la fondation ICSA
(Intelligence Culture and Strategic Analysis)
«Jusqu’à présent, la Russie n’a frappé aucun pays de l’OTAN puisque l’Ukraine ne fait pas partie de l’Alliance, et le fait même de faire allusion à une telle éventualité ne fait qu’exaspérer les esprits et réduire les chances d’une réconciliation que je juge indispensable. Je répète, indispensable.»
Générale Marco Bertolini, chef du
département de la défense
de Fratelli d’Italia
Source: VoxNews info du 27/04/2022
(Traduction Horizons et débats)
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